les cours de conduite
Programme de formation pour la conduite

Les horaires de conduite :
Le lundi de 8h à 11h et de 13h30 à 19h30
Le mardi de 8h à 11h et de 13h30 à 19h30
Le mercredi de 8h à 11h et de 13h30 à 19h30
Le jeudi de 8h à 11h et de 13h30 à 19h30
Le vendredi de 8h à 11h et de 13h30 à 19h30
La formation se déroule à trois heures par semaine de conduite et pour une offre à 24 heure de conduite demande 2 mois.
Le samedi matin de 8h à 10h est seulement réservé aux :
- Rendez-vous pédagogiques ou préalable pour les formations conduite accompagnée et supervisée
- Aux élèves qui sont hors départements pour cause d’études justifiés
Plus la formation dépasse les six mois pour sa globalité, plus le risque de litiges augmente, il est important pour les accompagnateurs, les payeurs de la formation, d’accompagner l’élève conducteur voir le booster pour que la formation dans sa globalité n’excède pas six mois.

Le Référenciel pour l'Education à une Mobilité Citoyenne
Le système de notation du permis de conduire français se base sur l’acquisition de quatre compétences distinctes par le candidat. Cette approche structurée de l’examen a été mis en place en 2013 et réformé en 2018.
Quelles sont les quatre compétences évaluées lors de l’examen du permis de conduire ?
Le Référentiel pour l’Éducation à une Mobilité Citoyenne (REMC) a été mis en place en 2013 et a mis en place un nouveau mode d’évaluation du permis de conduire. Se basant sur quatre compétences, la grille d’évaluation de l’examen est utilisée par tous les inspecteurs du permis de conduire. Chaque compétence doit remporter le nombre de points nécessaires, permettant d’obtenir un résultat favorable.
Ainsi, les quatre compétences évaluées doivent déterminer si le candidat est capable de maîtriser correctement son véhicule en toutes circonstances, de partager la chaussée avec les autres usagers, mais aussi avoir une conduite autonome et responsable.
Les compétences du REMC
Ainsi, le Référentiel pour l’Éducation à une Mobilité Citoyenne a été mis en place en 2013, en remplacement du Plan National de Formation (PNF) que suivaient auparavant les auto-écoles françaises. Ce nouveau programme s’articule autour de quatre champs de compétences, évaluées au cours de l’examen du permis de conduire :
- Compétence 1 : maîtriser le maniement du véhicule dans un trafic faible ou nul
- Compétence 2 : appréhender la route et circuler dans des conditions normales
- Compétence 3 : Circuler dans des conditions difficiles et partager la route avec les autres usagers
- Compétence 4 : Pratiquer une conduite autonome, sûre et économique
Ces compétences sont ensuite divisées en plusieurs sous-parties qui définissent autant de points remportés le jour du permis. C’est la matrice GDE (Goals for Drivers Education) d’origine finlandaise qui a mis en place ce schéma suivi désormais par toutes les auto-écoles.
Maîtriser le maniement du véhicule dans un trafic faible ou nul
Cette première compétence se compose de neuf sous-compétences. Il s’agit des compétences les plus basiques, que le candidat apprend à maîtriser dès ses premières leçons de conduite. Chacune de ces sous-compétences seront abordées le jour de l’examen par l’inspecteur :
- Connaître les principaux organes et commandes du véhicule, effectuer les vérifications intérieures et extérieures
- Entrer, s’installer au poste de conduite et en sortir
- Tenir, tourner le volant et maintenir la trajectoire
- Démarrer et s’arrêter
- Doser l’accélération et le freinage à diverses allures
- Utiliser la boîte de vitesses
- Diriger la voiture en avant en ligne droite et en courbe en adaptant allure et trajectoire
- Regarder autour de soi et avertir
- Effectuer une marche arrière et un demi-tour en sécurité
Appréhender la route et circuler dans des conditions normales
Cette deuxième compétence s’appuie sur l’aptitude du candidat à circuler sans danger sur la chaussée pour lui-même et les autres usagers. Elle se base sur huit sous-compétences qui seront évaluées tour à tour :
- Connaître les principales règles de circulation ainsi que la signalisation
- Tenir compte de la signalisation verticale et horizontale
- Rechercher les indices utiles
- Utiliser toutes les commandes
- Adapter sa vitesse aux situations
- Choisir la voie de circulation
- Maintenir les distances de sécurité
- Franchir les différents types d’intersection et y changer de direction
Circuler dans des conditions difficiles et partager la route avec les autres usagers
Cette troisième compétence du REMC vise à tester les capacités du jeune conducteur à prendre les bonnes décisions sur la chaussée en cas de circulation plus dense, et de mettre en œuvre des mesures préventives. Elle se base sur sept sous-compétences :
- Évaluer et maintenir les distances de sécurité
- Croiser, dépasser, être dépassé
- Passer les virages et conduire en déclivité
- Connaître les caractéristiques des autres usagers et savoir se comporter à leur égard avec respect et courtoisie
- S’insérer, circuler et sortir d’une voie rapide
- Conduire dans une file de véhicule et dans une circulation dense
- Conduire quand l’adhérence et la visibilité sont réduites
Pratiquer une conduite autonome, sûre et économique
Cette dernière compétence permet de vérifier si l’apprenti conducteur est capable de comprendre et appliquer les règles du Code de la route, de manière autonome et sécuritaire.
De plus, l’adoption d’une conduite économique et responsable est appréciée des inspecteurs. Cette compétence se déploie en sept sous-compétences :
- Suivre un itinéraire de façon autonome
- Préparer et effectuer un voyage longue distance en autonomie
- Connaître les principaux facteurs de risque au volant et les recommandations à appliquer
- Connaître les comportements à adopter en cas d’accident : protéger, alerter, secourir
- Faire l’expérience des aides à la conduite du véhicule (régulateur de vitesse, limiteur, ABS, aides à la navigation ….)
- Avoir des notions sur l’entretien, le dépannage et les situations d’urgence
- Pratiquer l’écoconduite
La fin de formation initiale AAC/CS
20 heures de conduite, c’est court, mais suffisant pour être accompagné et conduire en toute sécurité. Lorsque l’élève fait ses 20h de conduite obligatoire par la loi, il est établi par l’auto-école une fin de formation initiale nommé FFI.
Même si la loi stipule que les 3000 kms sont obligatoire dans la période de conduite accompagnée, il n’est pas forcément possible humainement d’accomplir autant de kilomètres en fonctions des situations de chacun.
D’autre part, les inspecteurs vérifies la date du rendez-vous préalable afin de s’assurer d’une période de un an de conduite minimal avant de finir la formation.
Il est préférable de faire un minimum de 1000 km en agglomération, avec beaucoup de rond-point et des priorités à droite que de l’autoroute. Car elle n’apporte pas aux apprentis conducteurs une véritable expérience, c’est surtout un moyen pour les accompagnateurs de se défausser et de profiter d’une bonne sieste. A l’issue des 1000 km ou de 6 et 9 mois selon l’âge, il est prévu le rendez-vous pédagogique numéro un.
Dans le cas où les 3000 km sont accomplis, c’est nécessaire que l’expérience de conduite soit absolument variée. Lors des examens, les inspecteurs ne font aucune différence entre le niveau d’une conduite accompagnée ou d’un permis B en formation classique. Ce qui pèse en différence pour l’examen, c’est la faute éliminatoire, c’est lorsque la sécurité ne dépend plus du conducteur.
Le rendez-vous préalable AAC/CS
Ce rendez-vous à la la fois théorique et pratique de la conduite, permet de faire le points sur les différents éléments essentiels pour la continuité de la formation avec les accompagnateurs de l’élève conducteur. L’objectif étant de pouvoir approfondir les points sécurisants garantissant une bonne période de conduite accompagnée.
Les rendez-vous pédagogiques AAC
Ils sont des croisements pédagogiques entre les accompagnateurs et l’école de conduite. Ils permettent de faire le point sur le niveau de l’élève conducteur, de rappeler des connaissances dans le cadre de la sécurité routière. Ils sont répartis en fonction de l’âge de l’élève conducteur et de son niveau de progression.
La formation en conduite accompagnée se continue avec les accompagnateurs jusqu’à la majorité et l’obtention du permis
rendez-vous permis
Déroulement de l’examen du permis de conduire et texte humoristique sur ce qu’il ne faut pas faire

Rendez-vous permis est la plate-forme permettant une auto-école de réserver les places d’examen du permis de conduire pour ses candidats.
Ce site permet ; environs 1 mois à l’avance ; de réserver d’une semaine sur l’autre.
Pour une formation en 24 heures, c’est environs vers 12 heures de formations que nous réservons la place d’examen.
Ceci dit, le nombre de place étant limité, nous sommes dans l’obligation d’agir avec prudence et discernement.
D’autre part, un examen raté peut avoir un délais avant sa représentation, ce qui complique aussi le mécanisme de réservation et de passage.
C’est pourquoi, nous vous invitons à faire preuve de patience, tous les candidats ont leurs place quoi qu’il arrive !
Le mandat est une autorisation : vous nous autorisez à vous réserver une place d’examen pratique au permis de conduire
Si vous êtes “pris.e sous mandat”, cela signifie que vous nous avez donné cette autorisation. Nous pourrons vous réserver une place d’examen.
La prise sous mandat est l’enregistrement de votre numéro NEPH et de votre adresse email au sein du site rendez-vous permis.
Grâce à la prise du mandat, nous allons réserver une date d’examen le plus proche de vos disponibilités et des besoins de l’auto-école. Vous recevrez par email la convocation.
Pour votre convocation, il est essentiel d’avoir un justificatif d’identité valide et non numérique.
Pour la conduite accompagnée et supervisée, vous devez être en possession de votre livret d’apprentissage.
Vous pouvez aussi au besoin venir avec votre masque et votre gel hydroalcoolique bien que cette règlementation ne soit plus en vigueur.
examen du permis de conduire
Déroulement de l’examen du permis de conduire et texte humoristique sur ce qu’il ne faut pas faire
Déroulé de l'examen du permis de conduire
Le permis se déroule de la façon suivante :
- Venir 30 minutes avant l’examen
- L’inspecteur donne les consignes de l’examen
- L’examen pratique débute
- Retour au centre après 30 minutes d’examen environs.
La faute éliminatoire
La faute éliminatoire est lorsque le conducteur n’assure plus la sécurité pour lui et pour les autres.
Elle se produit aussi en cas de non respect du code de la route, dans le cas d’intervention verbales répétitives ou d’intervention physique de l’inspecteur.
Percevoir, avertir, choisir sa voie, gérer son allure, se diriger, se positionner… Ses quelques mots sont si important… Réfléchissez en posant la question qui va avec…
Pour ceux qui y arriverons, les portes du permis vous sont ouvertes.

L'épopée ou l'hécatombe du centre d'examen du permis de conduire
Cet article est écrit de façon humoristique et familière volontairement, je vous invite à prendre du recul et à comprendre le fond du message…
Il est inutile de demander si l’inspecteur est gentil, il fait son travail. Il est inutile de montrer que l’on connais les parcours d’examen, l’inspecteur fait son travail, il est inutile de faire le fayot devant l’inspecteur, il vous sourit et vous met la note minimal, c’est à dire 20/31 si vous n’avez fait aucune fautes éliminatoire.
De manière générale, les inspecteurs dans le Gard, vont dans le sens des élèves sans pour autant être hors de leurs fonctions, c’est à dire, ils font leurs travail.
Lorsqu’il y a la manifestation du danger ; en circulation ou hors circulation ; le danger peut éveiller chez chacun des acteurs ; à cause des comportements qui se renvoi la responsabilité ; une perte de contrôle du véhicule d’un des acteurs, ce qui engendre parfois frustrations, culpabilité, agressions, désarrois à cause d’une situation de conduite imprévue et pourtant bien réelle.
C’est souvent dû à la loi de Murphy, la loi ; et pardonnez moi du terme ; de « l’impondérable maximal ». Une petite erreur, et des dizaines autres petites erreurs arrivent après par effet de série.
C’est pourquoi, il n’y a qu’une solution, rester en sécurité avec soi-même, retrouver son calme et la lucidité, se savoir en sécurité avec soi-même permet l’arrêt optimal de la loi de Murphy.
Si on se sent pas en sécurité avec soi-même peut-on l’être avec les autres ? Evidence ou constat ?
Mais dans tous les cas, la sécurité dépend de l’entente entre les acteurs dans le véhicule c’est à dire l’inspecteur, l’enseignant de la conduite représentant l’auto-école, et l’élève conducteur. A titre informatif, la loi prévois ce genre de cas, vous pouvez le lire dans l’article suivant : ici
Il est de la responsabilité de chacun des acteurs de mettre fin à l’examen, en cas de comportements dangereux afin d’assurer la sécurité de tous.
Par contre, et je le répète, si vous êtes à l’examen pour assurer la sécurité, faire ressentir un sentiment de sécurité palpable, c’est probable que l’examen se passe bien.
La faute éliminatoire,
c’est lorsque la sécurité ne dépend plus du conducteur.
